Notre promenade n'est pas finie ...
... et nous avons continué notre route
vers Notre Dame, deuxième endroit que notre héros du jour voulait revoir.
Voir les dégâts surtout.
On ne s'en fait pas une idée exacte en passant devant ou en regardant
les journaux .
Donc nous sommes toujours quai de la Tournelle et allons vers le parvis.
Nous laissons ce pont qui relie l'île de la cité à l'île St Louis. Je ne suis pas sûre
que ce soit le pont Sully. Vous me direz car je ne peux plus
aller vérifier sur place avant un bon moment !
La Police Montée parisienne. J'ai loupé les beaux chevaux tout à l'heure ...
Cette fois, je ne vais pas les rater. Ils sont trop beaux.
Un petit détour par le marché aux fleurs quasiment désert.
Une fontaine Wallace encore en service. L'eau y est potable.
Et voici Notre Dame, bien éprouvée et qui a failli disparaître.
Un billet lui sera entièrement consacré un jour prochain.
A côté, l'Hôtel Dieu où est né mon fils et qu'il voulait voir.
Pour cet hôpital qui devait s'arrêter de fonctionner, un billet lui sera aussi consacré.
Un côté du parvis
Une petite pièce pour le baryton. Je ne sais s'il est au chômage à cause de la pandémie ou ...
mais il a eu droit à sa petite pièce.
Il la valait bien mais je n'ai pas reconnu ce qu'il chantait.
Juste une image car j'emmène maintenant mes touristes rue Chanoinesse où se trouve
l'une des maisons les plus anciennes de Paris.
Cet immeuble, la maîtrise de Notre Dame, n'est pas récent non plus
puisqu'elle y est établie depuis 1455.
Cette rue nous montre l'ancienneté du quartier.
L'école de la magistrature.
Cette rue mériterait, à elle seule, un billet circonstancié.
A faire un de ces jours quand je pourrai y retourner.
Nous y voilà mais nous en reparlerons une autre fois.
Un bougnat. Il n'en reste pas beaucoup. Nous sortions de table, dommage !
Nous nous dirigeons maintenant, vers l'Hôtel de ville.
Sa construction a commencé en 1533 et s'est achevée en 1628.
Là aussi, il y faudrait un billet et quelques visites en bibliothèque.
Un petit coup d'oeil, en passant, vers la Conciergerie dont on voit les tours.
Mais laissons la Seine et ses trésors et dirigeons-nous vers Beaubourg.
Le confinement tombe à pic, je vais pouvoir vous faire découvrir les beautés
et les richesses de ce vieux Paris chargé d'Histoire.
Pour que vous n'en fassiez pas une over-dose, nous continuerons plus tard.
Nous aurons le temps. Je ne suis pas sûre que deux semaines
suffiront à vaincre ce satané virus.
Vous êtes-vous préparées et avez-vous aménagé votre temps pour le rentabiliser
et surtout pour ne pas vous ennuyer, le moral étant primordial ?
Je pense aussi, bien sûr, à tous ceux et celles qui vont continuer à travailler
et pour qui le temps reste le même.
Je vous souhaite un bon confinement riche de beautés à découvrir,
qui sont souvent oubliées et qui résident en nous-mêmes
et en nos proches.