J'ai ...
... encore essayé de vous
faire admirer la beauté éthérée des fleurs de paulownias.
C'était le 1er Mai, il était tôt et le ciel gris m'avait laissé espérer
que j'arriverais à les photographier de jolie façon.
Ce fut peine perdue et je fus fort déçue.
La place d'Italie en est entièrement plantée et leur floraison forme ...
... à certaines heures de certains jours, une brume mauve.
Ce ne fut pas la bonne heure, ni le bon jour ...
... ni la bonne manière !
Patricia, j'ai besoin de toi !
A part les chauffeurs de bus, je n'ai rencontré personne.
Je voulais faire le tour de la place mais découragée, j'ai préféré rentrer.
Ici, l'oranger du Mexique embaume ...
... et ces jolies petites fleurs rougissent de plaisir devant l'appareil.
L'arbre de Judée peine à faire oublier le ciel gris.
Pourtant, habituellement, il se donne à voir.
Une fresque que je n'avais pas encore vue.
La jolie glycine a été, prudemment, plantée en arbre.
L'arbre de Judée n'arrive pas à voler la vedette à cet autre,
vaporeux dont je ne connais pas le nom.
Le terre-plein, juste devant ma porte d'entrée, est paré d'iris blancs.
Même en retard, j'espère vous avoir fait plaisir en vous emmenant
faire cette petite promenade.
A l'heure où je vous écris, il souffle un vent propre à décorner
tous les boeufs du village mais la pluie a cessé.
Je vous raconterai un autre jour, ma promenade d'aujourd'hui
et vous en souhaite tout autant.