C'est au jardin ...
... du Luxembourg
que nous avons commencé notre promenade.
Voyez le temps gris, il est froid, couvrez-vous bien et
n'oubliez ni les gants, ni l'écharpe et le bonnet.
En hiver les arbres sont , de par la perte de leur feuillage,
crûment exposés à nos regards et nous montrent
leurs muscles. Pas d'embonpoint, de graisse superflue, ils sont
en forme et s'exposent dans toute leur beauté.
Nous sommes presque arrivées aux serres mais ce n'est pas le but.
Admirons cette assise de racines étalées à fleur de terre ...
... ainsi que ces premières fleurs ...
... et revenons sur nos pas.
Dans un enchevêtrement de formes humaines, Aimé Jules Dalou ...
... a représenté Silène, père nourricier de Dionysos, ivre sur son âne.,
Encore un bel arbre. Gracieux, il semble, danseur, prendre la pose.
On ne peut dire que celui-ci, le soit, gracieux. Serait-ce des moignons
qu'il lève au ciel pour le prendre à témoin ?
Je les ai prises trop près sans clic de sauvegarde pour choisir.
Dommage qu'il ne se soit pas mis à l'unisson de ses frères. Pudeur, fierté ?
Une émigrée de retour au bercail. L'Amérique va-t-elle se vider ?
Modèle de Bertholdi pour la réalisation de celle qui accueille
le voyageur au port de New York. Il en a fait don au Sénat.
Le jardin a été commandé par Catherine de Médicis, cet arbre faisait-il
partie de ces premières plantations ? Dommage que leur histoire
de soit pas racontée.
Nous sommes de retour à l'Orangerie. Angélina s'est installée ici
et a même composée une ligne de pâtisserie pour l'expo.
Hélas, j'ai mangé et bien mangé avant de partir.
La prochaine fois, nous allons pouvoir admirer ce peintre, contemporain
des impressionnistes.
Reposons-nous en attendant et à très bientôt pour la suite.