Encore des courses
Dans mon quartier,
cette fois.
Une violente averse m'a retardée mais
il me faut y aller.
C'est derrière chez moi ...
... entre la Place et la Porte d'Italie.
C'est le jardin d'une résidence ...
... dont la porte ne fermait pas.
Je vous l'ai déjà montré, mais ...
... cette année, il est encore plus beau.
Pas de grande variété de roses ...
... une résidente m'a confié qu'on y recherchait ...
... la facilité d'entretien.
Il est quand même bien beau.
L'averse ...
... la parlote avec la dame ...
... celle avec un monsieur ...
... fier de "son" jardin ...
... a fait que la banque est fermée.
Et comme je fais de la résistance ...
... à la carte bleue et à toutes celles qui sont payantes ...
... je me retrouve avec 1€50 en poche.
C'est une question de principe.
Je ne veux pas payer pour avoir la possibilité
de dépenser mon argent.
Le principe m'est imposé, je ne l'ai pas choisi, je n'ai
donc pas à payer les soi-disant frais de
gestion de la banque.
Surtout quand on sait, ce qu'elles en font, de l'argent !
J'ai quand même pu acheter ce dont j'avais besoin.
Les chèques sont encore en service et quand un magasin me les
refuse, je vais ailleurs.
Mauvais caractère, dîtes-vous ?
Mais non, mes aïeux se sont battus, sont morts, pour
que je puisse jouir de la liberté, et celle de choisir en fait partie.
Je ne veux pas qu'ils soient morts pour rien.
Et pour me faire pardonner, cette dernière image.
Je vous souhaite une agréable journée plus tranquille.
A demain !